Léa
C’est un bijou fait d’émeraudes et de rubis enchâssés dans un coffret de saphirs incrusté d’or. Ce joyau, d’où je t’écris, c’est l’ancien jardin du peintre Majorelle, un lieu paisible où il est bon de se poser, un bouquin à la main, la tête dans les nuages. Dans quelques heures je serai à Paris. Dans ma valise, afin d’oublier la grisaille qui m’attend, je mettrai un peu de sable du M’Hamid, quelques étoiles du Bani et, de la capitale des Almoravides ce petit coin de paradis où, tant de fois, entre deux voyages dans le sud, je suis venu « me poser un bouquin à la main ».
On reste sous le charme de ces photos…
J’admire autant la composition que le rendu des couleur et c’est une nouvelle invitation au voyage.
Bravo, vraiment…
J’aime toujours autant cette poésie dans le texte et dans les photos. Un gros regret cependant : le texte est trop court. C’était bien parti mais la lecture s’est arrêté rapidement. Mon Cher Daniel, rien que pour moi, fais le texte un peu plus long….