Léa
Aujourd’hui, j’ai retrouvé cette immense arche de Noé de 1510 km2 que l’on appelle Masaï Mara. A l’opposé géographiquement de mes régions de prédilection situées aux frontières de la Somalie, de l’Ouganda et de l’Ethiopie, cela faisait plusieurs années que mes vieilles savates en avaient pas soulevé la poussière. A ma grande surprise, malgré les cohortes de touristes qui régulièrement s’y précipitent, le spectacle y est toujours aussi grandiose. Il faut dire que 365 jours par an, depuis l’orée des temps, se joue ici, en décor naturel, le plus grand des opéras. Les acteurs, amateurs, de tous poils et plumes, solistes ou choristes, y chantent la vie, la mort, mais aussi la beauté et l’amour. L’orchestre, symphonique, sous la baguette du roi des animaux, sublime nos émotions.
P.S. A mon grand regret, une fois de plus, les quelques portraits et tableaux ici présents, ne sont qu’une piètre visualisation de cet incomparable chef-d’œuvre.
Un photographe doublé d’un poète. Quelles belles images en noir et blanc même si nous étions habitués a tes images en couleur, avec de beaux ciels bleus 😉
Si Daniel, tes photos sont sublimes elles apportent le ferment de la culture à la magnificence de la nature.
J’ai eu voici deux mois le même sentiment du sublime dans les parcs de Tanzanie
Amicalement
J’aime les ambiances de tes photos. La vie de la savane africaine est magnifiée par ton regard. Pas d’intrusion, les animaux sont tranquilles et ne semblent pas dérangés. Merci de partager ces moments merveilleux.
Mon cher Daniel,
tes textes sont toujours aussi poétiques et font penser à de belles choses.
Tes photos sont toujours aussi inspirantes.
J’attends toujours ces petits moments de bonheur à te lire avec délectation.
Continue sur cette voie de la poésie et du rêve qui te vont si bien.
Amitiés
Amar